Changements
Chers amis,
Un nouveau blog est né ! Venez me retrouver à l'adresse suivante pour une présentation plus complète du Silicium Organique et des produits que je mets au point.
A très bientôt !
Docteur R. Saubens
Chers amis,
Un nouveau blog est né ! Venez me retrouver à l'adresse suivante pour une présentation plus complète du Silicium Organique et des produits que je mets au point.
A très bientôt !
Docteur R. Saubens
Louis Pasteur avait pressenti l’importance de l’acide silicique.
Mais c’est à Norbert Duffaut que l’on doit les études les plus avisées sur le Silicium.
En
effet le Silicium minéral franchit peu les "barrière" qui séparent –
suivant la définition de Claude Bernard – le "milieu intérieur" du
"milieu extérieur", c’est à dire essentiellement la peau et la barrière
intestinale.
Ce fut la découverte et l’objet des travaux de Norbert Duffaut.
Observant
des grains de sables amorphes (silice cristalline), il s’aperçut que
certaines bactéries les entouraient sécrétant une substance qui
"digéraité" ce Silicium, le faisant ainsi passer du monde minéral au
monde organique donc assimilable par nos organismes. Il recueillit et
analysa ce substratum qui reçut le nom de Silanols.
Les Silanols sont des dérives organiques du Silicium. Le mot Silanols est un nom générique comme Eau oxygénée ou Eau de Javel et ne saurait être le nom d’un médicament spécifique.
Il
devenait donc possible d’administrer le Silicium en étant certain de le
faire pénétrer dans les organismes vivants, de telle sorte qu’il soit
utilisable par les cellules.
Un nouveau chapitre de la Médecine de terrain venait de s’ouvrir.
Comme
toute découverte novatrice et simple elle créa des passions, des
polémiques préjudiciables à la fois à la bonne connaissance et au bon
emploi de ce nouvel élément et surtout préjudiciable à son découvreur
qui ne supporta pas les cabales montées contre lui.
Par ailleurs
depuis un demi-siècle la médecine et le monde des laboratoires se sont
penchés plus sur le traitement des symptômes que sur l’amélioration du
terrain de la maladie.
Heureusement depuis quelques années on
assiste de la part d’un corps de praticiens – qu’il soit de formation
orthodoxe classique ou de formation holîstique – à une volonté de
traiter le terrain avant de traiter le symptôme. C’est un retour à des
sources que l’art Médical Français n’aurait jamais du quitter ! Dans de
nombreux pays étranger et plus particulièrement Européens cette
approche de l’Art de soigner n’a jamais été maudite bien au contraire !
Il faudra plus de cent ans pour que l’Homéopathie découverte et
pratiquée en Allemagne soit tolérée en France !
Les chercheurs pour
convaincre ne doivent en être que plus prudent dans leurs propos et
dans leurs actes ! Sans compter que le charlatanisme rôde avec son
cortège d’abus et notamment sur un plan financier. On pouvait donc agir
sur l’organisme en apportant de façon pondérée et contrôlable du
Silicium organique. Le tissu conjonctif étant par essence omniprésent
dans l’organisme les cibles d’activité seront nombreuses et variées.
Le
Silicium est un minéral très communément réparti sur la planète
puisqu’il représente 28 à 30 % de la composition du monde minéral sous
la forme de silice cristallisée.
Notre esprit habitué à le situer dans ce contexte oublie qu’il est également un constituant important du monde animal.
L’organisme humain en contient environ 7 g plus que du Fer (3.5g) et bien davantage que du cuivre et d’autres oligo-éléments.
On
le trouve dans l’ensemble des organismes végétaux et animaux sou forme
d’oligo-éléments et chez l’homme dans le tissu conjonctif qui constitue
la trame de tout le corps humain. Le corps humain peut être assimilé à
une « éponge » hautement différenciée dont le poids est à plus de 80 %
constitué d’eau. Le tissu conjonctif retient et organise la répartition
de l’élément liquide en différentes concentrations.
C’est par sa
possibilité de changement de polarité rendant la cellule hydrophile ou
hydrophobe que le Silicium resserre ou relâche cette trame conjonctive
en assurant ainsi le maintien de son élasticité. C’est à dire son
importance et sa pluri-localistation.
On ne s’étonnera pas alors de
le trouver "partout" c’est à dire dans le sang, les parois des
vaisseaux la trame des alvéoles pulmonaires, dans les os et les
cartilages de conjugaison.
Le fœtus humain durant la gestation
s’enrichit en Silice préparant ainsi la réserve nécessaire à sa
croissance et à son développement.
A contrario la présence de Silicium diminue avec l’avancée en âge cette diminution participant directement au processus de vieillissement.
Notre organisme a donc besoin de ce précieux minéral et des études ont montré que ce besoin était environ de 30 mg par jour.
L’alimentation devrait pouvoir apporter la ration nécessaire.
On
trouve en effet du Silicium dans l’enveloppe des grains de céréales (le
millet surtout) dans la peau des fruits, le pollen, l’ail, l’échalote
dans certains fibres alimentaires…
Malheureusement ces produits sont
proposés sous forme raffinée et donc dans le mode de consommation
actuelle dépourvus de ce principe actif.
Certaines eaux naturelles
dites "eaux dures" ont une teneur en Silicium plus abondante mais on
s’ingénie à adoucir ces eaux pour rendre plus agréable leur potabilité !
Une
enquête épidémiologique a montré que des populations consommant des
eaux riches en cet élément étaient moins exposées à certaines maladies :
Ortie – Prêle – Persil – Pistache – Noix de coco - Ananas en contiennent de façon notable.
Le mode d’alimentation de nos sociétés tend donc à minorer l’apport indispensable consécutif au renouvellement cellulaire.
De
plus l’espérance de vie s’étant accrue d’environ 30 ans au cours de ce
dernier siècle l’apport de silicium devient indispensable. Et il le
devient d’autant plus que nous vivons plus longtemps en sollicitant
davantage nos organismes (activités sportives, etc.).
On se trouve confronté au paradoxe suivant :
Une
espérance de vie considérablement accrue, un mode de vie sollicitant de
plus en plus intensément notre organisme et de plus en plus longtemps,
entraînant un besoin plus conséquent des carburants nécessaire alors
même que ces carburants font défaut ou tout au moins sont inadaptés ou
plus encore sont mal utilisés par nos organismes.
Le manque de
Silicium – compte tenu de son omniprésence dans l’organismes – se
manifeste de façon polymorphe que nous envisagerons plus loin dans les
applications thérapeutiques.
C’est le cas de nombreux autres oligo-éléments :
Le
calcium ne se trouve pas que dans les os il participe aussi à la
conduction de l’influx nerveux entre les neurones, il en est de même du
magnésium, du soufre, etc.
En conséquence la complémentarisation en ce produit apporte des bienfaits multiples.
L’apport
de Silicium n’est pas une panacée mais il faut bien convenir qu’il
améliore des problèmes de nature qui pourraient apparaître – pour un
esprit non informé – tout à fait disparates.
On dit d'un
produit qu'il est organique quand il est présent dans l'organisme
humain. Ainsi on parle de Calcium, de Magnésium, de Phosphore organique
et donc de Silicium Organique. Il faut que l'oligo-élément
(Calcium-Magnésium-Silicium ou tout autre) se présente à l'entrée dans
l'organisme pour y pénétrer sous un "déguisement", une forme chimique
qui le rende totalement assimilable. C'est Norbert Duffaut qui
découvrit le "déguisement chimique" du Silicium. Ce sont les Silanols.
C'est
sous ce déguisement et sous ce déguisement seul que le Silicium agit
pleinement. Les plantes puisent dans le sol le Silicium sous sa forme
minérale, pour le transformer en Silicium assimilé par "leur organisme
de plante". Il s'agit donc d'un Silicium Organique végétal. Consommer
ces aliments permet donc d'apporter à l'organisme un Silicium déjà
"pré-digéré". Mais notre mode d'alimentation a changé. D'autres formes
chimiques peuvent apporter aussi du Silicium sous des formes un peu,
moyennement, pas beaucoup, pas totalement assimilable, mais qui
permettent "tant bien que mal" de fournir à l'organisme humain le
précieux Silicium dont il a tant besoin. La seule vraie - naturelle -
forme chimique sous laquelle le Silicium est parfaitement assimilable
est la forme des Silanols.